Contenus en rapport avec le mot-clé élections américaines de 2024

C’est toujours mieux de prendre le risque de prédire que d’analyser après la bataille, ce que tous les commentateurs, y compris les moins compétents et les plus surprenants, s’attachent à faire depuis 1 semaine.

Les résultats attestent de la pertinence de solliciter l’intelligence collective de centaines de politologues amateurs via des paris en ligne, réels ou virtuels. Mais ils n’étonneront pas ceux qui connaissent l’histoire des paris politiques.

Le recours à l'humour noir a été l'un des atouts de Donald Trump lors de la campagne électorale.

Jean-Sébastien Ferjou, sur CNews : « Les élites européennes ont peur. Nous sommes dans une situation similaire qu'ont vécue les élites de l'Europe de l'Est quand Gorbatchev a commencé à vouloir changer le système. Donald Trump s'attaque à l'ordre mondial ».

Pour la Fi, si les Américains ont massivement voté très à droite, c’est parce que la gauche n’était pas assez radicale. Logique.

Contrairement à 2016, Donald Trump est un dirigeant expérimenté, qui pourra compter sur la vague rouge au Congrès pour mener à bien sa politique.

Alors que plus de 90% des bulletins ont été dépouillés, Donald Trump a récolté 71 millions de voix, contre 66 millions pour son adversaire Kamala Harris.

Le premier ministre français Michel Barnier a mis en garde les Européens mercredi 6 novembre contre le «chacun pour soi» après la victoire de Donald Trump à la présidence des États-Unis, plaidant pour une «stratégie européenne coordonnée», a rapporté la porte-parole du gouvernement.

Donald Trump devient le 47e président des Etats-Unis. Les réactions à l'international ne se sont pas fait attendre.

L'élection présidentielle américaine a eu lieu ce mardi 5 novembre 2024 et s'est soldée par la victoire de Donald Trump. Un certain nombre de points fondamentaux permettent d’expliquer les ruptures qui charpentent le paysage politique américain.

L'étude des foies soulève également une question sous-jacente sérieuse sur la manière dont l'homme a fait face à l'incertitude tout au long de l'histoire, et s'efforce encore de le faire aujourd'hui.

À l'approche des résultats, les sentiments d'impatience et d'anxiété peuvent s'intensifier. Il est normal de vouloir connaître les résultats, mais il est également important de s'assurer que lorsque les résultats sont annoncés, ils sont exacts.

Avec tout ce qui se passe dans la politique américaine, il serait facile d'oublier le 40e anniversaire de la réélection écrasante de Ronald Reagan en 1984. Mais Donald Trump et ses partisans semblent vouloir perpétuer le souvenir de Reagan et s'appuyer sur ses fondations.

Kamala Harris et Donald Trump étant à égalité, les sondeurs et les experts s'efforcent de trouver des indices pour prédire le résultat.

Pour tous les amateurs de cryptomonnaies, la victoire de Donald Trump ne pourrait que doper le cours de tous les bitcoins et autres cryptos. Mais ils risquent de déchanter assez rapidement parce que Donald Trump va forcément se heurter au mur des réalités monétaires et notamment au dollar.

La polarisation croissante aux Etats-Unis pourrait faire craindre un début de guerre civile post-élection, ce qui n'est pas du goût de Martin Gurri, ancien analyste de la CIA et spécialiste de la relation entre la politique et les médias, pour qui les éléments ne sont pas réunis.

Chacun achète de la pub et des réseaux pour attiser, attirer et alimenter les perceptions. Inflation de dépenses, déflation d’intelligence.

Au vu des chiffres, c'est le Sénat qui inquiète le plus les démocrates et enthousiasme le plus les républicains. Les démocrates risquent de perdre des sièges en Virginie-Occidentale, une région à tendance républicaine, et pourraient en perdre d'autres dans l'Ohio, le Montana, le Michigan, la Pennsylvanie et le Wisconsin.

Les hommes d’affaires sont restés prudents et discrets (sauf Elon Musk), mais les marchés, eux, parlent... Aux États-Unis, le Dow Jones et surtout le dollar anticipent le retour de Donald Trump... d’où la hausse qui parait surprenante aux observateurs étrangers car les marchés étrangers eux (Amérique du Sud, Asiatiques et Européens) s’inquiètent fortement.

Les marchés européens s'inquiètent, laisse entendre le Financial Times, d'une potentielle élection de Donald Trump le 5 novembre.